67% of Canadians favour screening newcomers for 'anti-Canadian values

Machjo

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Oct 19, 2004
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Ottawa, ON
qu'est-ce tu veux, c'est ca le canada de Grosse patate.

soyons fiers

Je crois que ça s’expliques d’une de deux théories :

1. L’ASFC suit une politique d’anglais par défaut en Ontario. C’est-à-dire que si l’accusé n’exprime pas de préférence entre l’anglais et le français, l’anglais l’emporte sur le français.

2. Grace a une pénurie d’interprètes chinois-français, l’ASFC choisit toujours un interprète chinois-anglais par défaut.

Si la première théorie est correcte, tout a donc commencé en Ontario en anglais. Et car le conseil de l’accusé connaissait le chinois et l’anglais et non pas le français, tout a donc continué en anglais jusqu’à Montréal.

Si la deuxième théorie est correcte, alors le simple fait d’avoir besoin d’un interprète sinophobe garantissait automatiquement que tout se déroule en anglais.

Si on aurait une politique d’unilinguisme officiel, tout agent de l’ASFC en Ontario connaitrait bien l’anglais sans exception. De plus, tout se déroulerait au Canada anglais. Comme ça, le juge, les conseils, et l’interprète connaitraient tous l’anglais très bien.

A l’inverse, une personne accusée au Québec ferait face à un interprète qui connaitrait très bien le français qui communiquerait avec un agent de l’ASFC qui lui aussi connaitrait très bien le français. De plus, l’audience se passerait au Canada francophone également devant un juge et des conseils et un interprète qui connaitraient tous le français très bien.

Un accusé anglophone au Québec préfèrerait sans doute communiquer clairement à travers d’un interprète anglais-français que directement en mauvais anglais.

J’imagine que le francophone accusé dans le ROC préfèrerait lui aussi de communiquer à travers un interprète français-anglais que directement en mauvais français.

Le multilinguisme personnel, c’est très utile. L’unilinguisme officiel est essentiel si on veut éviter une tour de Babel. On doit ne pas confondre le personnel et l’officiel. Ce sont deux réalités à part.
 

tay

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May 20, 2012
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Colonizers have always turned to racism to rationalize oppression. Racism is prejudice or discrimination based on the belief that one or one's group is innately or genetically superior to another. Racists believe that “race” determines qualities such as intelligence, innovation, creativity and even morality. Colonization has been maintained through racial stereotypes, among other means.

Racism may be expressed individually or structurally. It may be expressed person to person, for example, by name calling, by refusal of service in any public place, or even by personal attacks. Aboriginal peoples continue to encounter such forms of personal discrimination or other indignities every day of their lives. Such racism is intolerable but racial prejudice by proverbial “rednecks” is not the only sort of racism that exists in our country. It is especially important to understand that racism against Aboriginal peoples is embedded and entrenched in Canadian institutions.

Examples are the British North America Act, the courts, the police, churches, banks, employers, social services, the medical system and education. Racism in the school system can be traced back to the Euro-Canadian (or Western) interpretation of history, a biased interpretation which has been transmitted through the uncritical use of archival and historical records and textbooks.


Aboriginal Perspectives
 

Queb

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Jun 23, 2013
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Je crois que ça s’expliques d’une de deux théories :

1. L’ASFC suit une politique d’anglais par défaut en Ontario. C’est-à-dire que si l’accusé n’exprime pas de préférence entre l’anglais et le français, l’anglais l’emporte sur le français.

2. Grace a une pénurie d’interprètes chinois-français, l’ASFC choisit toujours un interprète chinois-anglais par défaut.

Si la première théorie est correcte, tout a donc commencé en Ontario en anglais. Et car le conseil de l’accusé connaissait le chinois et l’anglais et non pas le français, tout a donc continué en anglais jusqu’à Montréal.

Si la deuxième théorie est correcte, alors le simple fait d’avoir besoin d’un interprète sinophobe garantissait automatiquement que tout se déroule en anglais.

Tu sais ton affaire est très anecdotique. Mais les patantes de langue au ROC font toujours réagir négativement et on accuse toujours les gros méchants Québécois d'en être à l'origine. Les canadians ne remettent jamais en question l'hypocrisie du bilinguisme officiel au fédéral et les "concessions" symboliques au français pour justifier leur guerre à la Nation Québécoise et de sa prétention a être maître chez elle. On veut créer une illusion d'une fédération ouverte et "confortable" pour les Québécois partout pour justifier d'offrir des privilèges et un maximum d'espace à la culture envahissante des britanno-canadiens au Québec. La guerre à la loi 101 est symptomatique de cette pensée. La loi 101 ne réussi même pas à contrer les effets pervers des privilèges accordés aux anglophones qui perpétuent la présence forte de la culture WASP au Québec et gruge graduellement la prédominance de notre culture sur notre territoire National. Les canadians ont le front de nous reprocher de vouloir établir chez-nous, sur notre territoire, ce qu'ils ont eux-mêmes établi par la violence et en niant les droits constitutionnels des francophones. Les anglo n'ont plus besoins de protéger leur culture et leur langue dans le ROC, c'est fait depuis longtemps. Les droits accordés à contre-coeur aux francophones du ROC ne visent qu'à protéger les privilèges des anglo au Québec. Dans les faits, si on traitait la minorité anglophone de la manière qu'ils ont traité les francophones dans le ROC, on aurait une réponse radicale et probablement violente (on a qu'à lire les rêves d'humiliation militaire contre les Québécois exprimés ici-même sur ce forum)de la part du gouvernement fédéral. Le bilinguisme canadian est une grosse farce monumentale. Il n'y a aucune intention ou volonté du ROC pour fonctionner dans les deux langues. Ils sont dans l'attente de l'affaiblissement suffisant de la culture Québécoise pour finir la job d'éradication de notre culture. ça fait parti des valeurs canadians.
 

Danbones

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Sep 23, 2015
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Just try and prove them wrong in their idiocy and you will find the racism is quite entrenched
yet look at the types of things this this "racism" protects:
Like;
Obama care, pedophile priests, and woman and child murdering military nut bars like general Cusstard, and their ethnic cleansing operations, like Little big horn, Vietnam, Iraq, Afghanistan, Syria, Libya, Romainia, the Balkans, and every other place just like them, while demonic turd blossoms, like Cecil Rhodes, limp DicK Cheney, and George Sores
( the jew who turned jews into the Nazis for money)
make money

qui Bono?
 

Machjo

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Oct 19, 2004
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Ottawa, ON
Tu sais ton affaire est très anecdotique. Mais les patantes de langue au ROC font toujours réagir négativement et on accuse toujours les gros méchants Québécois d'en être à l'origine. Les canadians ne remettent jamais en question l'hypocrisie du bilinguisme officiel au fédéral et les "concessions" symboliques au français pour justifier leur guerre à la Nation Québécoise et de sa prétention a être maître chez elle. On veut créer une illusion d'une fédération ouverte et "confortable" pour les Québécois partout pour justifier d'offrir des privilèges et un maximum d'espace à la culture envahissante des britanno-canadiens au Québec. La guerre à la loi 101 est symptomatique de cette pensée. La loi 101 ne réussi même pas à contrer les effets pervers des privilèges accordés aux anglophones qui perpétuent la présence forte de la culture WASP au Québec et gruge graduellement la prédominance de notre culture sur notre territoire National. Les canadians ont le front de nous reprocher de vouloir établir chez-nous, sur notre territoire, ce qu'ils ont eux-mêmes établi par la violence et en niant les droits constitutionnels des francophones. Les anglo n'ont plus besoins de protéger leur culture et leur langue dans le ROC, c'est fait depuis longtemps. Les droits accordés à contre-coeur aux francophones du ROC ne visent qu'à protéger les privilèges des anglo au Québec. Dans les faits, si on traitait la minorité anglophone de la manière qu'ils ont traité les francophones dans le ROC, on aurait une réponse radicale et probablement violente (on a qu'à lire les rêves d'humiliation militaire contre les Québécois exprimés ici-même sur ce forum)de la part du gouvernement fédéral. Le bilinguisme canadian est une grosse farce monumentale. Il n'y a aucune intention ou volonté du ROC pour fonctionner dans les deux langues. Ils sont dans l'attente de l'affaiblissement suffisant de la culture Québécoise pour finir la job d'éradication de notre culture. ça fait parti des valeurs canadians.

Je crois qu’une différence entre nous deux (et corrige mois si j’ai tort) est que ta motivation pour imposer le français au Québec est la pérennité du français. Ma motivation pour abroger le statut officiel de l’anglais au Québec est le pragmatisme.

Pour toi, ça relie à la nation. Pour moi, c’est une question administrative, économique et logistique.

Abroger le statut officiel de l’anglais au Québec aurait certains avantages.

Premièrement, ça réduirait la superfluité linguistique là ou l’anglais n’est pas nécessaire.

Deuxièmement, ça éliminerait l’obligation d’apprendre l’anglais (mais pas forcément une langue seconde) au secondaire. Ceci permettrait aux francophones d’accéder à l’industrie de la traduction (ex. français-LSQ, français-chinois, français-arabe, etc.), des domaines que l’anglais a tendance à dominer comme langue pontière. Jusqu’à ce que l’anglais maintienne un quasi-monopole dans le domaine de la traduction internationale, l’anglais continuera à dominer l’industrie de la traduction commerciale, policière, douanière et judiciaire même dans un Québec souverain! C’est inévitable. Le Québec fait partit du grand monde, qu’il le veut ou non.

En ce qui concerne la loi 101, une idéologie nationaliste favorisera naturellement l’imposition du français dans le domaine privé. Une « idéologie » d’économie efficace aura tendance à s’y opposer.

A la surface, nos idées sont semblables, mais c’est dans le détail qu’ils se divergent. Pour toi, le Québec est un petit pays d’amerique. Pour moi, c’est un petit pays du monde.
 

Queb

Electoral Member
Jun 23, 2013
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Je crois qu’une différence entre nous deux (et corrige mois si j’ai tort) est que ta motivation pour imposer le français au Québec est la pérennité du français.


Le Français n'est qu'une facette de la culture Québécoise. Ma motivation est de protéger ma Nation contre les vues hégémoniques de la Nation canadians sur le Québec. Ma motivation est de sortir Ma nation de ce statut de peuple en tutelle et soumis aux volontés d'un autre peuple. Un peuple étranger qui exprime de plus en plus ouvertement son hostilité envers les miens.

A la surface, nos idées sont semblables, mais c’est dans le détail qu’ils se divergent. Pour toi, le Québec est un petit pays d’amerique. Pour moi, c’est un petit pays du monde

Non, un Québec indépendant serait loins d'être un petit pays. Il serait plutôt dans la bonne moyenne.

Tu sais si le "pragmatisme économique" était la seule motivation valable à considérer en politique et même la seule conduisant à une économie performante et en phase avec la population, ça ferait longtemps que les canadians militeraient pour leur intégration à la fédération Américaine.... et pourtant....

En fait, vouloir prendre des décisions économiques en fonction de ses valeurs, ses intérêts, ses forces et ses faiblesses, et en fonction du développement de sa Nation en fonction de sa situation géopolitique au lieu de devoir se plier constamment aux diktats d'une Nation hostile qui n'en a rien à foutre de l'avenir de sa Nation fait aussi parti d'une attitude pragmatique. Une Nation hostile qui est en constante recherche de la limite à ne pas dépasser pour éviter un clash politique insoutenable mais qui permettra une érosion de la nation concurrente et soumise.
 

Remington1

Council Member
Jan 30, 2016
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Is this a real question? Immigrating anywhere in the world, I would expect that I would not have any anti sentiment towards that country, else why would I move there? Should it be a question? Yea, but would I tell the truth, seriously man.
 

Machjo

Hall of Fame Member
Oct 19, 2004
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Ottawa, ON
Is this a real question? Immigrating anywhere in the world, I would expect that I would not have any anti sentiment towards that country, else why would I move there? Should it be a question? Yea, but would I tell the truth, seriously man.

Then there's the matter of freedom of speech. I oppose official bilingualism and the separate school system for example. Would we now expect foreign nationals to 'prove their patriotism' by expressing their wholehearted support for official bilingualism and the separate school system when even some Canadians oppose them?

If we define official 'Canadian values' according to the Constitution, then even I would fail the test and I was born and raised in Canada.
 

JamesBondo

House Member
Mar 3, 2012
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back on topic...

IMO, Canadians need to replace discussions of "X must not do that because it offends Y." with " in order for all to have liberty, we need to stress tolerance of others..."

If we don't, our constitution and our liberty will be eroded into something it should never become.
 

Ludlow

Hall of Fame Member
Jun 7, 2014
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wherever i sit down my ars
What you Canadian folk need to do is demand a financial statement and any scumbag American who doesn't make at Least a couple hundred grand a year can be told to get fooked. Don't need no stankin losers infecting the purity of your values and morals ye see. :).