Criss de tabarnac. Sa dépasse toutes les discriminations (oh combien il y en as) envers la population francophone du Canada. NOUVEAU BRUNSWICK, 2 ième province la plus francophone et la seule à avoir officiellement le statut de bilingue.........REFUSE à un CHIEN pour aveugle à parler francais.......Sa tu pas de criss de bon sens. Un autre exemple de l'intolérance et de l'oppression que doit constamment subir la population francophone.
Pis le pire c'est qu'il y a des individus qui cachent l'erreure et qui, par le fait même, l'empire de façon honteuse. Une chance que c'est pas l'inverse, car j'entend d'ici les grand journaux torontois nous parler de l'intolérance francophone et blablabla...de l'asti de connerie. Continuer....on aime ça.
Pour ceux qui n'ont pas lu les nouvelles aujourd'hui, voici un extrait de l'article du Journal de Montréal paru aujourd'hui!...
Un étudiant aveugle de Trois-Rivières s'est vu refuser l'accès à un programme d'immersion anglaise au Nouveau-Brunswick parce qu'il refuse de parler anglais avec... son chien-guide !
L'Université du Nouveau-Brunswick (UNB) exige que les étudiants inscrits en immersion ne parlent qu'anglais pendant les cinq semaines du programme.
Et ces règles semblent également s'appliquer aux chiens. Ils ont annoncé à Yvan Tessier qu'il ne pourrait pas prononcer des commandements comme «assis» et «en avant» pour son fidèle ami, pourtant dressé en français.
«Mon chien parle le français, explique M. Tessier. Lui parler en anglais, ça menace ma sécurité et celle de mon chien ! »
II s'est rendu hier à l'UNB à Frédericton pour commencer ses cours, mais les responsables refusent de l'admettre.
Il y a quelques semaines, M. Tessier a reçu une lettre de l'UNB lui ordonnant de signer un serment selon lequel il ne parlerait pas français à son chien, sous peine d'être expulsé, sans remboursement : « Vous devez impérativement nous rendre cette déclaration dûment signée qu'indiqué (sic) que toute communication avec votre chien-guide [...] ser (a) (sic) en anglais sans exception. »
Il est aussi mentionné qu'apprendre au chien les sons anglais provoquerait une confusion et metterait en danger la vie du chien et de M.Tessier!
Pis le pire c'est qu'il y a des individus qui cachent l'erreure et qui, par le fait même, l'empire de façon honteuse. Une chance que c'est pas l'inverse, car j'entend d'ici les grand journaux torontois nous parler de l'intolérance francophone et blablabla...de l'asti de connerie. Continuer....on aime ça.
Pour ceux qui n'ont pas lu les nouvelles aujourd'hui, voici un extrait de l'article du Journal de Montréal paru aujourd'hui!...
Un étudiant aveugle de Trois-Rivières s'est vu refuser l'accès à un programme d'immersion anglaise au Nouveau-Brunswick parce qu'il refuse de parler anglais avec... son chien-guide !
L'Université du Nouveau-Brunswick (UNB) exige que les étudiants inscrits en immersion ne parlent qu'anglais pendant les cinq semaines du programme.
Et ces règles semblent également s'appliquer aux chiens. Ils ont annoncé à Yvan Tessier qu'il ne pourrait pas prononcer des commandements comme «assis» et «en avant» pour son fidèle ami, pourtant dressé en français.
«Mon chien parle le français, explique M. Tessier. Lui parler en anglais, ça menace ma sécurité et celle de mon chien ! »
II s'est rendu hier à l'UNB à Frédericton pour commencer ses cours, mais les responsables refusent de l'admettre.
Il y a quelques semaines, M. Tessier a reçu une lettre de l'UNB lui ordonnant de signer un serment selon lequel il ne parlerait pas français à son chien, sous peine d'être expulsé, sans remboursement : « Vous devez impérativement nous rendre cette déclaration dûment signée qu'indiqué (sic) que toute communication avec votre chien-guide [...] ser (a) (sic) en anglais sans exception. »
Il est aussi mentionné qu'apprendre au chien les sons anglais provoquerait une confusion et metterait en danger la vie du chien et de M.Tessier!